lundi 29 novembre 2010
samedi 13 novembre 2010
Cueillette du jour
Plus besoin de rêver sur les beaux champs d'oliviers du Luberon.
Depuis deux ans, notre bel olivier nous offre de magnifiques olives noires.
On a donc profité des derniers rayons de soleil de novembre pour laisser mûrir ses beaux fruits.
Et aujourd'hui on a donc fait la cueillette de cet or noir.
La récolte fût bonne: 1Kg300, pas mal pour un seul arbre!
Nos bibouns ont participé à la cueillette avec plaisir, même notre ami Réunionais Sully nous a aidé.
Maintenant, il ne reste plus qu'à les faire tremper afin de les désamériser et ensuite on va tenter de les préparer à la niçoise et de les mettre en bocal.
J'espère que cette récolte de 2010 fera un bon millésime.
Vivement les apéros sous la treille!!!!
vendredi 5 novembre 2010
Parfois...
On a l'impression que le temps s'est comme arrêté.
Alors que l'on a tellement envie que les choses avancent, changent, évoluent.
Et pourtant rien ne bouge.
On attend.
Mais on attend quoi en fait?
C'est parfois si difficile de garder son calme et de ne pas sombrer.
Surtout quand notre petit feu follet avance à petits pas mais pour mieux reculer de trois.
En ce moment, nous sommes dans l'attente.
L'attente d'une prise en charge médicale, d'un suivi.
Mais Omigod que c'est long.
On attend derrière le téléphone que l'on nous donne enfin une date de rendez vous au CHU pour lui faire passer des "tests".
On se dirige vers une forme d'autisme dit "atypique". C'est ce que les "grands pontes" nous ont dis.
Mais nous on s'en fiche de ce catalogage.
Nous ce qu'on veut c'est que notre petit Colin s'apaise et arrête de s'inquiéter dès que les choses ne sont pas dans son ordre près établi.
Comment lui faire comprendre que vivre c'est évoluer, changer, se transformer et que c'est justement ça la richesse de la vie ici-bas.
La vie est belle parce que tout est en perpétuel changement.
Rien n'est établi.
Mais c'est dur d'attendre et de ne voir pour le moment rien changer.
Et surtout de ne pas savoir tout le temps comment apaser ses maux, ses angoisses.
j'ai le mal de mère.
Mais je garde le cap.
Toujours croire...
Alors que l'on a tellement envie que les choses avancent, changent, évoluent.
Et pourtant rien ne bouge.
On attend.
Mais on attend quoi en fait?
C'est parfois si difficile de garder son calme et de ne pas sombrer.
Surtout quand notre petit feu follet avance à petits pas mais pour mieux reculer de trois.
En ce moment, nous sommes dans l'attente.
L'attente d'une prise en charge médicale, d'un suivi.
Mais Omigod que c'est long.
On attend derrière le téléphone que l'on nous donne enfin une date de rendez vous au CHU pour lui faire passer des "tests".
On se dirige vers une forme d'autisme dit "atypique". C'est ce que les "grands pontes" nous ont dis.
Mais nous on s'en fiche de ce catalogage.
Nous ce qu'on veut c'est que notre petit Colin s'apaise et arrête de s'inquiéter dès que les choses ne sont pas dans son ordre près établi.
Comment lui faire comprendre que vivre c'est évoluer, changer, se transformer et que c'est justement ça la richesse de la vie ici-bas.
La vie est belle parce que tout est en perpétuel changement.
Rien n'est établi.
Mais c'est dur d'attendre et de ne voir pour le moment rien changer.
Et surtout de ne pas savoir tout le temps comment apaser ses maux, ses angoisses.
j'ai le mal de mère.
Mais je garde le cap.
Toujours croire...
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